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La phytothérapie, en d’autres termes, l’utilisation des plantes à des fins thérapeutiques est une pratique ancienne. En inhalation, décoction, infusion … il existe plusieurs formes d’utilisation des plantes. La phytothérapie est une des composantes de la médecine traditionnelle et de la médecine ancestrale. Son origine provient notamment de la Pharmacopée Chinoise et de la Pharmacopée Indienne (Ayurveda).

Définition et principes de la phytothérapie

La phytothérapie est le fait de guérir certaines maladies par des plantes ou des extraits de plantes. Effectivement, certaines plantes médicinales contiennent des principes actifs ayant un exercice direct des effets biologiques sur les organismes vivants. Chacun d’eux fournira deux à trois cents composants différents. Selon le phytothérapeute, c’est l’interaction entre ces différentes substances qui produit les propriétés curatives.

La phytothérapie est basée sur l’utilisation de plantes médicinales à des fins thérapeutiques. En médecine classique, les pharmaciens extraient les principes actifs des plantes pour fabriquer des médicaments. En phytothérapie, les plantes sont utilisées partiellement ou totalement sous diverses formes. La logique de traitement entre la médecine classique et la phytothérapie est également différente. La médecine moderne est un substitut, c’est-à-dire que la médecine conventionnelle peut réguler la fonction du corps et réduire son besoin d’auto-réparation. En phytothérapie, les plantes sont également utilisées comme médicaments pour réguler les fonctions humaines, mais elles aident également le corps à se rétablir. Selon les praticiens de la médecine chinoise, la maladie ne survient pas par accident. C’est le résultat du déséquilibre interne du corps humain, qui doit constamment s’adapter à son environnement.

La capacité du corps à maintenir l’équilibre et l’adaptabilité est unique à chacun de nous et est notre terre personnelle. La phytothérapie se concentre sur l’analyse des systèmes constitutifs du corps : neuroendocrinien (régulateur), hormones, immunité, système de drainage, et utilise des plantes pour l’améliorer si nécessaire.

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Une plante pour chaque des maux dans le corps

En effet, à chaque maladie correspond une plante pouvant pratiquement la traiter de la manière la plus soigneuse possible.

  • Pour traiter la bronchite, la toux et les angines, le thym qui est un antiseptique général est là,
  • Lorsque les bronches sont encombrées, la fleur de mauve est également intéressante car elle aide à soulager la toux et à favoriser la production de crachats.
  • Pour les maladies veineuses, le Fragon (ou petit houx) est adapté pour résister à la sensation de jambes lourdes.
  • Les artichauts et les fumeterres ont de bonnes propriétés de transit. Les huiles essentielles peuvent favoriser la digestion et résister hardiment à l’indigestion. La prêle des champs et le thé vert (sous forme de capsule ou d’infusion) aident à réduire le poids ;
  • Les propriétés anti-inflammatoires de plusieurs plantes peuvent être utilisées, notamment dans les maladies rhumatismales (arthrose, arthrite, etc.) : patte du diable, cassis, camomille romaine, romarin ;
  • Certaines plantes aident à soulager la douleur : betterave des prés, bouleau, peuplier, écorce de saule.
  • En ce qui concerne les problèmes de sommeil, la passiflore et la valériane sont recommandées en raison de leurs propriétés apaisantes, ainsi que la schizophrénie.

Les enjeux de la phytothérapie

En raison de contre-indications, méfiez-vous de la qualité et de la quantité de plantes à utiliser. Par exemple, le millepertuis ne doit pas être consommé pendant un traitement antidépresseur, une thérapie cardiaque ou une trithérapie. De plus, il est généralement déconseillé aux femmes enceintes de planter des plantes (à une ou deux exceptions près), car nous ne disposons d’aucune donnée pour garantir leur sécurité pendant cette période.

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